Eternal sunshine of the spotless mind
Savoir que Charlie Kaufman écrivait
une histoire d'amour avais déjà de quoi nous intriguer, mais quand on
sait que c'est le géo-trouvetou des FX fait maison Michel Gondry qui est aux commandes et que le rôle principal du film sera tenue par le grand (l'immense) Jim Carrey dans
un rôle à contre-emploie ne pouvais que nous...ben nous intriguer
encore plus quoi (tiens faudrait que je m'achète un dictionnaire des
synonymes un de ces quatre).
Le film est un véritable labyrinthe
scénaristique d'une cohésion tout bonnement parfaite, nous montrant
foules de personnages ayant comme point central, allez je vous laisse
deviner. Pff bandes de feignasses ! Non je ne cèderais pas ! Mais je
vous dis que aïe ça fait mal c***ard ! bon d'accord ben c'est l'amour !
faut pas être Einstein pour le deviner ! Hum je m'égare, excusez-moi je
reprend.
Comment parler de ce film ? Hum, bonne question à laquelle
je n'ai malheuresement pas la réponse (j'ai dû perdre en route mon âme
de poète).
Il est beau, il est intriguant, poétique, ça finis sur un happy-end, on est éblouis par la maestra technique de Michel Gondry on en ressort le coeur léger, tout heureux.
Un
film sur l'amour (si si je vous assure, on dirais pas comme ça mais en
fait si), la relation durable passant par l'acceptation des défauts de
l'autre (ça marche pour ceux qui pètent au lit ?).
On en retiendra
les acteurs éblouissant, son traitement si réaliste, la réalisation
magnifique, les effets spéciaux si beau, ses douze idées par plan, ses
quarante-mille scènes d'ores-et-déjà cultes, euh...je continue ?
Quand un génie de l'image s'associe à un génie de l'histoire, on obtient un film merveilleusement poétique, et....c'est tout.